Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Midnight Runners (FFCP 2017)
Kim Joo-hwan
« Drôle, rythmé, haletant. Une jolie surprise qui manie avec brio le buddy movie et le thriller bien glauque. On en redemande ! »
Midnight Diner (Kinotayo 2015)
Joji Matsuoka
« Une cuisine proprete mais sans grande saveur. »
Midnight (FFCP 2021)
Kwon Oh-seung
« La bonne idée que suggérait la scène d'ouverture s'effondre dans les 10 minutes suivantes pour un thriller où la surenchère n'a d'égale que son comique involontaire. »
« Tous les clichés du thriller coréen sans les qualités à cause d'une surenchère qui dessert de bonnes idées dans la forme sur l'usage du paysage urbain, et dans le fond avec la vulnérabilité dans lequel place l'handicap au sein du monde contemporain. »
« Midnight commence pas mal, fourmille de bonnes petites idées mais est complètement écrasé par sa surenchère qui provoque rebondissements sur rebondissements et donc une totale incohérence. »
Microhabitat (FFCP 2018)
Jeong Go-woon
« Une magnifique errance autour de jeunes adultes coréens sans repères, où les plus apaisés et bienveillants ne sont pas les plus nantis. Mention particulière à la magnifique interprète principale, toute en empathie. »
« Un 1er film qui secoue le spectateur tant par sa maîtrise formelle que par les tons utilisés (on passe du rire à la mélancolie). Miso, le personnage principal, est une femme forte qui suit son chemin malgré le regard critiques de ses congénères, contre vents et marées. Réalisatrice à suivre de très près. »
« Un petit film jarmushien qui arrive à bien saisir l'air du temps. »
Microhabitat (en vidéo le 30/07/2020)
Jeon Go-woon
« Un premier long-métrage bouleversant qui épingle la société contemporaine avec une douce violence sans jamais céder au pathos ou à la démonstration. »
« Une magnifique errance autour de jeunes adultes coréens sans repères, où les plus apaisés et bienveillants ne sont pas les plus nantis. Mention particulière à la magnifique interprète principale, toute en empathie. »
« Un 1er film qui secoue le spectateur tant par sa maîtrise formelle que par les tons utilisés (on passe du rire à la mélancolie). Miso, le personnage principal, est une femme forte qui suit son chemin malgré le regard critiques de ses congénères, contre vents et marées. Réalisatrice à suivre de très près. »
« Une très belle œuvre sur la jeunesse coréenne désœuvrée. »
« Un petit film jarmushien qui arrive à bien saisir l'air du temps. »
MicMac Masters (en salles le 05/11/2014)
Nalan Kumarasamy
« Chouette comédie populaire indienne, loin d'être parfaite - mais ce type de sortie est suffisamment rare pour ne pas bouder son plaisir ! »
Merry Christmas Mr. Mo (FFCP 2017)
Lim Dae Hyung
« Une oeuvre intimiste, originale et pleine de charme feutré gentiment burlesque. »
« Film mignon, drôle et assez touchant doté d'une mise en scène réussie (beau noir et blanc) mais qui aurait mérité d'être plus dynamique. »
Memories (en salles le 24/08/2022)
Otomo Katsuhiro, Morimoto Kōji, Okamura Tensai
« Rien que pour les débuts magnifiques de Satoshi Kon, il faut voir ça. »
« Un omnibus qui s'impose comme un classique SF moderne, en particulier les segments de Morimoto et Otomo. »
« Quand les maitres de l’animation japonaise se retrouvent, c’est pour proposer une anthologie sans égal, où le fantastique se mêle à l’absurde. »
Memoria (en salles le 17/11/2021)
Apichatpong Weerasethakul
« Il y a ceux qui font semblant de faire du cinéma, et il y a le cinéma. »
« Sublime méditation sur notre rapport au monde et à ce qui nous entoure. Et si on confiait les manettes de l'humanité à Apichatpong Weerasethakul ? »
« En s'associant à Swinton, Weerasethakul n'évite pas tout à fait le devenir "world cinema" de son esthétique contemplative. Si sa relecture du Vaudou de Tourneur offre une trouée sensorielle en cinéphilie, le film dégage surtout une impression d'étiolement. »
« Nuances humanistes infinies, l'art du dialogue et des silences n'a jamais été aussi profond. »
« Apichatpong Weerasethakul déroute en restant en périphérie de la jungle et ouvre une nouveau chapitre de son cinéma, peut-être du cinéma. »
Mekong Stories (en salles le 20/04/2016)
Phan Dang Di
« Les corps se mêlent et s'entremêlent avec brutalité et sensualité. Un mélange (d)étonnant. »
« De belles fulgurances plastiques noyées dans une narration flotantante qui manque de liant. »
Mekong Hôtel (en DVD le 04/02/2014)
Apichatpong Weerasethakul
« Je suis restée hermétique à ce film quasi-expérimental. »
« Une oeuvre mineure d'un cinéaste majeur, qui aurait mérité une édition DVD accompagnant un peu plus son spectateur dans les mystéres de l'univers du film. »
Meatball Machine Kodoku (L'Étrange Festival 2017)
Nishimura Yoshihiro
Mazinger Z (en salles le 22/11/2017)
Shimizu Junji
« Trop référencé pour être complètement impliquant mais visuellement très efficace et impressionnant dans ses scènes d'actions. »
May The Devil Take You (Sebelum Iblis Menjemput) - L'Étrange Festival 2018
Timo Tjahjanto
« Peu d'idées, mal écrit, des acteurs en roue libre... Blumhouse a encore de l'avenir ! »
« Un bingo de l'épouvante: porte qui claque : je l’ai ; monstre sous le lit : je l’ai... Des thunes mais pas d’idées. »
« Mais oui, que le diable les emporte ! Mais il pourrait être un peu plus rapide et moins répétitif quand même... »
Matsumoto Tribe (Kinotayo)
Ninomiya Ken
Mate (FFCP 2018)
Jung Dae-gun
« Mignon, choupinou et totalement inoffensif. Mais le film est petite bouffée d'air frais. »
Masaan (en salles le 24/06/2015)
Neeraj Ghaywan
Mary et la Fleur de la sorcière (en salles le 21/02/2018)
Yonebayashi Hiromasa
« Belle entrée en matière pour le studio Ponoc avec cette oeuvre certes sous influence Ghibli mais dont l'héroïne attachante et l'univers foisonnant emportent l'adhésion et trouve malgré tout un semblant d'identité. »
« Mauvais début pour le studio Ponoc. Si les graphismes sont réussis (bémol sur les personnages pompés sur Ghibli), le scénario est vu et revu et le rythme inexistant. »
« Paresseux, mal rythmé, sans aucune inventivité ni originalité... Ponoc a vite intérêt à se trouver un identité pour continuer à éveiller une once de curiosité de la part des spectateurs avec son prochain film. »
Marlina, la tueuse en 4 actes (Cannes 2017)
Mouly Surya
« Du sous-tarantino indonésien... »
Mark @f Youth (Cannes 2013)
Chung Siu-hung
« No touch of Sin »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Midnight Runners (FFCP 2017)
Kim Joo-hwan
« Drôle, rythmé, haletant. Une jolie surprise qui manie avec brio le buddy movie et le thriller bien glauque. On en redemande ! »
Midnight Diner (Kinotayo 2015)
Joji Matsuoka
« Une cuisine proprete mais sans grande saveur. »
Midnight (FFCP 2021)
Kwon Oh-seung
« La bonne idée que suggérait la scène d'ouverture s'effondre dans les 10 minutes suivantes pour un thriller où la surenchère n'a d'égale que son comique involontaire. »
« Tous les clichés du thriller coréen sans les qualités à cause d'une surenchère qui dessert de bonnes idées dans la forme sur l'usage du paysage urbain, et dans le fond avec la vulnérabilité dans lequel place l'handicap au sein du monde contemporain. »
« Midnight commence pas mal, fourmille de bonnes petites idées mais est complètement écrasé par sa surenchère qui provoque rebondissements sur rebondissements et donc une totale incohérence. »
Microhabitat (FFCP 2018)
Jeong Go-woon
« Une magnifique errance autour de jeunes adultes coréens sans repères, où les plus apaisés et bienveillants ne sont pas les plus nantis. Mention particulière à la magnifique interprète principale, toute en empathie. »
« Un 1er film qui secoue le spectateur tant par sa maîtrise formelle que par les tons utilisés (on passe du rire à la mélancolie). Miso, le personnage principal, est une femme forte qui suit son chemin malgré le regard critiques de ses congénères, contre vents et marées. Réalisatrice à suivre de très près. »
« Un petit film jarmushien qui arrive à bien saisir l'air du temps. »
Microhabitat (en vidéo le 30/07/2020)
Jeon Go-woon
« Un premier long-métrage bouleversant qui épingle la société contemporaine avec une douce violence sans jamais céder au pathos ou à la démonstration. »
« Une magnifique errance autour de jeunes adultes coréens sans repères, où les plus apaisés et bienveillants ne sont pas les plus nantis. Mention particulière à la magnifique interprète principale, toute en empathie. »
« Un 1er film qui secoue le spectateur tant par sa maîtrise formelle que par les tons utilisés (on passe du rire à la mélancolie). Miso, le personnage principal, est une femme forte qui suit son chemin malgré le regard critiques de ses congénères, contre vents et marées. Réalisatrice à suivre de très près. »
« Une très belle œuvre sur la jeunesse coréenne désœuvrée. »
« Un petit film jarmushien qui arrive à bien saisir l'air du temps. »
MicMac Masters (en salles le 05/11/2014)
Nalan Kumarasamy
« Chouette comédie populaire indienne, loin d'être parfaite - mais ce type de sortie est suffisamment rare pour ne pas bouder son plaisir ! »
Merry Christmas Mr. Mo (FFCP 2017)
Lim Dae Hyung
« Une oeuvre intimiste, originale et pleine de charme feutré gentiment burlesque. »
« Film mignon, drôle et assez touchant doté d'une mise en scène réussie (beau noir et blanc) mais qui aurait mérité d'être plus dynamique. »
Memories (en salles le 24/08/2022)
Otomo Katsuhiro, Morimoto Kōji, Okamura Tensai
« Rien que pour les débuts magnifiques de Satoshi Kon, il faut voir ça. »
« Un omnibus qui s'impose comme un classique SF moderne, en particulier les segments de Morimoto et Otomo. »
« Quand les maitres de l’animation japonaise se retrouvent, c’est pour proposer une anthologie sans égal, où le fantastique se mêle à l’absurde. »
Memoria (en salles le 17/11/2021)
Apichatpong Weerasethakul
« Il y a ceux qui font semblant de faire du cinéma, et il y a le cinéma. »
« Sublime méditation sur notre rapport au monde et à ce qui nous entoure. Et si on confiait les manettes de l'humanité à Apichatpong Weerasethakul ? »
« En s'associant à Swinton, Weerasethakul n'évite pas tout à fait le devenir "world cinema" de son esthétique contemplative. Si sa relecture du Vaudou de Tourneur offre une trouée sensorielle en cinéphilie, le film dégage surtout une impression d'étiolement. »
« Nuances humanistes infinies, l'art du dialogue et des silences n'a jamais été aussi profond. »
« Apichatpong Weerasethakul déroute en restant en périphérie de la jungle et ouvre une nouveau chapitre de son cinéma, peut-être du cinéma. »
Mekong Stories (en salles le 20/04/2016)
Phan Dang Di
« Les corps se mêlent et s'entremêlent avec brutalité et sensualité. Un mélange (d)étonnant. »
« De belles fulgurances plastiques noyées dans une narration flotantante qui manque de liant. »
Mekong Hôtel (en DVD le 04/02/2014)
Apichatpong Weerasethakul
« Je suis restée hermétique à ce film quasi-expérimental. »
« Une oeuvre mineure d'un cinéaste majeur, qui aurait mérité une édition DVD accompagnant un peu plus son spectateur dans les mystéres de l'univers du film. »
Meatball Machine Kodoku (L'Étrange Festival 2017)
Nishimura Yoshihiro
Mazinger Z (en salles le 22/11/2017)
Shimizu Junji
« Trop référencé pour être complètement impliquant mais visuellement très efficace et impressionnant dans ses scènes d'actions. »
May The Devil Take You (Sebelum Iblis Menjemput) - L'Étrange Festival 2018
Timo Tjahjanto
« Peu d'idées, mal écrit, des acteurs en roue libre... Blumhouse a encore de l'avenir ! »
« Un bingo de l'épouvante: porte qui claque : je l’ai ; monstre sous le lit : je l’ai... Des thunes mais pas d’idées. »
« Mais oui, que le diable les emporte ! Mais il pourrait être un peu plus rapide et moins répétitif quand même... »
Matsumoto Tribe (Kinotayo)
Ninomiya Ken
Mate (FFCP 2018)
Jung Dae-gun
« Mignon, choupinou et totalement inoffensif. Mais le film est petite bouffée d'air frais. »
Masaan (en salles le 24/06/2015)
Neeraj Ghaywan
Mary et la Fleur de la sorcière (en salles le 21/02/2018)
Yonebayashi Hiromasa
« Belle entrée en matière pour le studio Ponoc avec cette oeuvre certes sous influence Ghibli mais dont l'héroïne attachante et l'univers foisonnant emportent l'adhésion et trouve malgré tout un semblant d'identité. »
« Mauvais début pour le studio Ponoc. Si les graphismes sont réussis (bémol sur les personnages pompés sur Ghibli), le scénario est vu et revu et le rythme inexistant. »
« Paresseux, mal rythmé, sans aucune inventivité ni originalité... Ponoc a vite intérêt à se trouver un identité pour continuer à éveiller une once de curiosité de la part des spectateurs avec son prochain film. »
Marlina, la tueuse en 4 actes (Cannes 2017)
Mouly Surya
« Du sous-tarantino indonésien... »
Mark @f Youth (Cannes 2013)
Chung Siu-hung
« No touch of Sin »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Tableau des Etoiles

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Midnight Runners (FFCP 2017)
Kim Joo-hwan
« Drôle, rythmé, haletant. Une jolie surprise qui manie avec brio le buddy movie et le thriller bien glauque. On en redemande ! »
Midnight Diner (Kinotayo 2015)
Joji Matsuoka
« Une cuisine proprete mais sans grande saveur. »
Midnight (FFCP 2021)
Kwon Oh-seung
« La bonne idée que suggérait la scène d'ouverture s'effondre dans les 10 minutes suivantes pour un thriller où la surenchère n'a d'égale que son comique involontaire. »
« Tous les clichés du thriller coréen sans les qualités à cause d'une surenchère qui dessert de bonnes idées dans la forme sur l'usage du paysage urbain, et dans le fond avec la vulnérabilité dans lequel place l'handicap au sein du monde contemporain. »
« Midnight commence pas mal, fourmille de bonnes petites idées mais est complètement écrasé par sa surenchère qui provoque rebondissements sur rebondissements et donc une totale incohérence. »
Microhabitat (FFCP 2018)
Jeong Go-woon
« Une magnifique errance autour de jeunes adultes coréens sans repères, où les plus apaisés et bienveillants ne sont pas les plus nantis. Mention particulière à la magnifique interprète principale, toute en empathie. »
« Un 1er film qui secoue le spectateur tant par sa maîtrise formelle que par les tons utilisés (on passe du rire à la mélancolie). Miso, le personnage principal, est une femme forte qui suit son chemin malgré le regard critiques de ses congénères, contre vents et marées. Réalisatrice à suivre de très près. »
« Un petit film jarmushien qui arrive à bien saisir l'air du temps. »
Microhabitat (en vidéo le 30/07/2020)
Jeon Go-woon
« Un premier long-métrage bouleversant qui épingle la société contemporaine avec une douce violence sans jamais céder au pathos ou à la démonstration. »
« Une magnifique errance autour de jeunes adultes coréens sans repères, où les plus apaisés et bienveillants ne sont pas les plus nantis. Mention particulière à la magnifique interprète principale, toute en empathie. »
« Un 1er film qui secoue le spectateur tant par sa maîtrise formelle que par les tons utilisés (on passe du rire à la mélancolie). Miso, le personnage principal, est une femme forte qui suit son chemin malgré le regard critiques de ses congénères, contre vents et marées. Réalisatrice à suivre de très près. »
« Une très belle œuvre sur la jeunesse coréenne désœuvrée. »
« Un petit film jarmushien qui arrive à bien saisir l'air du temps. »
MicMac Masters (en salles le 05/11/2014)
Nalan Kumarasamy
« Chouette comédie populaire indienne, loin d'être parfaite - mais ce type de sortie est suffisamment rare pour ne pas bouder son plaisir ! »
Merry Christmas Mr. Mo (FFCP 2017)
Lim Dae Hyung
« Une oeuvre intimiste, originale et pleine de charme feutré gentiment burlesque. »
« Film mignon, drôle et assez touchant doté d'une mise en scène réussie (beau noir et blanc) mais qui aurait mérité d'être plus dynamique. »
Memories (en salles le 24/08/2022)
Otomo Katsuhiro, Morimoto Kōji, Okamura Tensai
« Rien que pour les débuts magnifiques de Satoshi Kon, il faut voir ça. »
« Un omnibus qui s'impose comme un classique SF moderne, en particulier les segments de Morimoto et Otomo. »
« Quand les maitres de l’animation japonaise se retrouvent, c’est pour proposer une anthologie sans égal, où le fantastique se mêle à l’absurde. »
Memoria (en salles le 17/11/2021)
Apichatpong Weerasethakul
« Il y a ceux qui font semblant de faire du cinéma, et il y a le cinéma. »
« Sublime méditation sur notre rapport au monde et à ce qui nous entoure. Et si on confiait les manettes de l'humanité à Apichatpong Weerasethakul ? »
« En s'associant à Swinton, Weerasethakul n'évite pas tout à fait le devenir "world cinema" de son esthétique contemplative. Si sa relecture du Vaudou de Tourneur offre une trouée sensorielle en cinéphilie, le film dégage surtout une impression d'étiolement. »
« Nuances humanistes infinies, l'art du dialogue et des silences n'a jamais été aussi profond. »
« Apichatpong Weerasethakul déroute en restant en périphérie de la jungle et ouvre une nouveau chapitre de son cinéma, peut-être du cinéma. »
Mekong Stories (en salles le 20/04/2016)
Phan Dang Di
« Les corps se mêlent et s'entremêlent avec brutalité et sensualité. Un mélange (d)étonnant. »
« De belles fulgurances plastiques noyées dans une narration flotantante qui manque de liant. »
Mekong Hôtel (en DVD le 04/02/2014)
Apichatpong Weerasethakul
« Je suis restée hermétique à ce film quasi-expérimental. »
« Une oeuvre mineure d'un cinéaste majeur, qui aurait mérité une édition DVD accompagnant un peu plus son spectateur dans les mystéres de l'univers du film. »
Meatball Machine Kodoku (L'Étrange Festival 2017)
Nishimura Yoshihiro
Mazinger Z (en salles le 22/11/2017)
Shimizu Junji
« Trop référencé pour être complètement impliquant mais visuellement très efficace et impressionnant dans ses scènes d'actions. »
May The Devil Take You (Sebelum Iblis Menjemput) - L'Étrange Festival 2018
Timo Tjahjanto
« Peu d'idées, mal écrit, des acteurs en roue libre... Blumhouse a encore de l'avenir ! »
« Un bingo de l'épouvante: porte qui claque : je l’ai ; monstre sous le lit : je l’ai... Des thunes mais pas d’idées. »
« Mais oui, que le diable les emporte ! Mais il pourrait être un peu plus rapide et moins répétitif quand même... »
Matsumoto Tribe (Kinotayo)
Ninomiya Ken
Mate (FFCP 2018)
Jung Dae-gun
« Mignon, choupinou et totalement inoffensif. Mais le film est petite bouffée d'air frais. »
Masaan (en salles le 24/06/2015)
Neeraj Ghaywan
Mary et la Fleur de la sorcière (en salles le 21/02/2018)
Yonebayashi Hiromasa
« Belle entrée en matière pour le studio Ponoc avec cette oeuvre certes sous influence Ghibli mais dont l'héroïne attachante et l'univers foisonnant emportent l'adhésion et trouve malgré tout un semblant d'identité. »
« Mauvais début pour le studio Ponoc. Si les graphismes sont réussis (bémol sur les personnages pompés sur Ghibli), le scénario est vu et revu et le rythme inexistant. »
« Paresseux, mal rythmé, sans aucune inventivité ni originalité... Ponoc a vite intérêt à se trouver un identité pour continuer à éveiller une once de curiosité de la part des spectateurs avec son prochain film. »
Marlina, la tueuse en 4 actes (Cannes 2017)
Mouly Surya
« Du sous-tarantino indonésien... »
Mark @f Youth (Cannes 2013)
Chung Siu-hung
« No touch of Sin »
  • : pas de note
  • : mauvais
  • : moyen
  • : bon
  • : très bon
  • : excellent
  • : chef-d'Oeuvre

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